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Faisant suite à rien ne sert de courir... que j'écrivis il y a deux mois, dans le cadre d'une page sur facebook intitulée chronique d'une victoire anticipée, je pose aujourd'hui cette question : "Quand les sondages donnent depuis plus d'un an Le Pen présente au second tour, qui entendent-ils éliminer par ailleurs, la Droite ou la Gauche ?".

Je ne pense pas que Fillon réussira à endiguer la montée du FN. Il nous appartiendra de soustraire cette engance du second tour, garantissant au peuple français que Le Pen fasse un score aussi minimal que possible, afin de ne pas rafler des sièges en quantité à l'Assemblée Nationale. Finalement c'est nous qui devrons faire tout le boulot et même le plus sale.

Alors remontons nos manches et prenons une bonne respiration parce que pour couronner le tout, on nous donne perdants dès la ligne de départ, sur laquelle notre candidat ne s'est pas encore placé. Qui a dit que le PS était has-been et n'avait aucune utilité !? Qui prétendra encore longtemps que François Hollande n'était pas l'homme de la situation ? Mitterrand fut élu dans l'attente et l'espoir que la Gauche alterne avec cinq décennies de gouvernements de Droite et ce fut le cas, mais évidemment pas reconnu à sa juste valeur, comme il en est question pour ce quinquennat, d'autant que notre président ne fut pas élu dans la même attente que son prédécesseur socialiste.

C'est l'occasion qui lui est enfin donnée, car au vu des résultats économiques et sociaux de cette demi-décennie, qui niera encore que cet homme, qui nous guide depuis cinq ans, ait pour destin de le faire encore très longtemps ? Il appartient à celles et ceux de nos rangs, comme chez nos adversaires politiques et journalistiques, d'admettre sa simple présence, la simple reconnaissance de son talent, pour que le nuage anti-démocratique qui plombe encore la France s'éloigne et que l'on entre enfin dans une ère de politique sereine et constructive.

 Valentin Jaunet